Discussion et rencontre importante

Discussion et rencontre

importante

À l'intérieur de son bureau dans son château, le Prince Jaegon Targaryen lisait quelques corbeaux qu'il avait reçus de la part de sa grande sœur Diana pour avoir des nouvelles du Nord, mais surtout savoir si son neveu allait bien. Regardant le sceau royal qu'il avait près de lui, il appelle son mestre qui arrive rapidement dans son bureau. - Oui Votre Altesse ? Dit le mestre en question. Jaegon se lève de son bureau pour parler. - Faites envoyez à ma mère notre Reine que je viens la voir. Dit-il pour ensuite demander à ses serviteurs et servantes de préparer tout pour son départ. - Faites aussi préparer mes navires. Dit-il ensuite. Parce qu'il voulait discuter avec sa mère à cause de son problème d'épouse, le fait qu'il n'est pas encore marié et qu'il n'a pas encore d'héritier pour sécuriser le trône. Après s'être préparé, il sort de son château pour aller dans un de ces navires ayant les couleurs de sa maison avec orner l'emblème des dragons. Vingt bonnes heures passées sur l'un de ces navires lorsque un membre de l'équipage cri terre en vue. Il sourit en allant voir Port-Réal puis mettant sa tunique avec l'emblème de sa famille, il met ensuite sa cape. Descendant du navire il monte sur l'un de ces chevaux pour aller en direction du Donjon Rouge avec le peuple qui baissait la tête à chaque fois qu'il passait dans les rues de la capitale. Une fois arriver dans la cour du Donjon Rouge les serviteurs et servantes baissaient la tête vers lui. Il allait ensuite à l'intérieur pour ensuite aller dans la salle du trône pour y trouver sa mère. Il plie le genou. - Votre grâce, je suis à votre disposition. Dit-il avant de se relever et la regarder en souriant.

Clémentine Targaryen , Jaegon Targaryen & Lorelaï Martell.

Pando

Messages : 7 Date d'inscription : 10/06/2017

Je m'étais réveillée avec des poignards dans l'estomac, pas littéralement, mais je sentais que j'allais être malade. Moi, l'Héritière de Lancehélion, m'étais fait piégée par ma propre mère. Cette marâtre avait décidé de m'envoyer à Port-Réals, afin d'essayer de me promettre au Prince Héritier. Mon père avait essayé de mettre son point sur la table, mais impossible de faire flancher ma mère. Je me retrouvai, bien malgré moi sur un bateau en direction de la Capitale.

Après quelques longs jours en mer, à pleurer sur mon sort, je finis par mettre pied à terre. Les représentants de la Reine, m'attendait directement sur le quai. Et comme je posai sur pied sur ce dernier, on s'inclina devant moi. Bien élevée, je répondis d'une petite révérence. On me fit grimper dans une petite calèche richement décorée aux couleur des Targaryens et on me transporta comme un bien vers le palais royal. Le trajet fut plutôt court, mais je fus témoin de l'énorme écart entre les gens du peuple et ceux plus nobles. Mon coeur se serra, pour les gens plus pauvres. Avant que je ne puisse sortir une bourse d'or de ma robe rose pâle, j'étais déjà devant les grandes portes du palais. Je sortis du carosse, tête baissée et me laissai guider vers la salle d'audience.

- Lorelaï Martell, de Lancehélion, votre Majestée, annonça un page.

Je relevai le regard vers une magnifique femme, blonde, grande et mince. Assise sur le trône de fer, son air sérieux, lui donnait l'air d'une déesse. Je fis quelques pas vers elle et m'arrêtai devant les marches montant vers le trône. Je fis une profonde révérence devant la souveraine des sept couronnes, avant de me relever.

- Majestée, mon père, Oberyn Martell, deuxième du nom, vous envois son amitié, dis-je d'un ton doux et poli. Il m’envoie aussi pour me promettre à votre fils. Je viens avec une imposante dot, qu'il m'a fait apporter pour vous.

Derrière moi, cinq servants entrèrent avec de lourds coffres, renfermant peut-être bijoux, or et tissus précieux. Mon coeur se serra, on me vendait. Ma mère avait décidé de m'évincer du trône de Lancehélion pour me vendre à un prince que je ne connaissais pas. Je baissai la tête, incapable de retenir une larme.

- Sachez que je suis honorée de l'hospitalité que vous m'avez fait preuve depuis mon arrivée, réussis-je à dire.

Messages : 6 Date d'inscription : 25/06/2017

Le devoir d'une reine

J'étais lasse. En même temps, j'étais excitée. Cela faisait un petit moment que je n'avais pas vu mon fils, Jaegon, mais je n'avais pas envie de le voir afin de le promettre à une jeune fille que je ne connaissais même pas. Je ne l'avais pas encore rencontrée, et j'avais à peine quelques minutes pour le faire. Effectivement, Lorelaï Martell avait mal prévu son voyage, et elle arrivait exactement la même journée que mon fils. L'héritier de mon trône.

Mon coude contre ma coiffeuse, mon menton contre ma main, je laissais l'une de mes dames de compagnie coiffer mes cheveux en une coiffure très complexe. Une fois que ce fut fini, je me levai d'un bond, me glissant dans une robe longue, d'un gris charbon. De petites épaulettes en plumes en faisaient les manches, laissant mes bras nus. Elle était collée à mon corps jusqu'au genou, ou une ouverture laissait voir ma jambe. De magnifiques motifs noirs étaient brodés à certains endroits. Je ne mis aucun bijou, excepté ma couronne. La fille Martell m'attendait dans la salle d'audience, alors que j'avais préféré rencontrer mon fils dans la salle du trône. J'allai voir la première.

« Majestée, s'exclama Lorelaï, en se prosternant bien bas, mon père, Oberyn Martell, deuxième du nom , vous envoie son amitié. »

Je ne pus m'empêcher de rouler des yeux. Je détestais toutes ces fausses convenances. Clairement, elle n'était pas sincère, elle ne faisait que réciter un texte appris par coeur. Elles étaient toutes pareilles, toutes de jeunes femmes sans cervelle. Non qu'elles n'étaient pas intelligentes, mais bien parce que c'était ainsi qu'elles étaient élevées. Elles n'apprenaient pas à penser par elles-mêmes. Malheureusement, c'était la meilleure alliance pour notre royaume. J'espérais seulement que mon fils serait heureux auprès d'elle. Au moins, elle était jolie. Par contre, sa chevelure foncée me répugnait légèrement. Les héritiers de Jaegon ne seraient pas tous blonds, et ça me décevait grandement.

« ... qu'il m'a fait apporter pour vous, termina la jeune femme. »

Je me tournai vers l'une de mes dames, qui me fit signe qu'elle avait écouté pour moi ce qui venait de se passer. Je soupirai de soulagement. J'avais la mauvaise habitude de partir très souvent dans la lune, et ce, bien malgré moi.

C'est alors que plusieurs hommes entrèrent avec des coffres, qui semblaient très lourds. Je haussai un sourcil. Je ne savais pas ce qu'ils renfermaient, mais jamais je ne m'étais doutée que les Martell possédaient une telle richesse. Ils seraient de puissants alliés en cas de guerre. J'avais fait un bon choix. Cependant, la petite créature devant moi ne semblait pas du même avis. Elle gardait la tête haute, mais je voyais bien dans son regard qu'elle n'était pas heureuse. Je vis alors ses yeux se remplir de larmes, et elle baissa aussitôt la tête. Je me levai de mon petit trône simplement fait d'or, descendant les trois marches qui me séparaient de la jeune Lorelaï.

« Sachez que je suis honorée de l'hospitalité que vous m'avez fait preuve depuis mon arrivée, articula-t-elle, par pure politesse. »

Je poussai un soupir. Je n'avais pas envie qu'elle se sente ici en cage, comme ma petite Diana. Avec tendresse, je relevai son visage baigné de larmes vers le mien. Je la serrai ensuite dans mes bras, comme une mère le ferait avec son enfant. Elle sembla étonnée de mon geste, mais elle ne s'en plaignit guère.

« Je sais ce que tu penses, mais ces alliances politiques sont nécessaires dans le bon fonctionnement d'un royaume, lui expliquais-je d'une voix douce. Laisse une chance à mon fils de te prouver sa valeur. Il est un homme bon, il est tendre, mais il sait en même temps diriger avec une main de fer. Il sera un roi magnifique, et un excellent époux. »

Avec l'aide de mes pouces, j'essuyai ses larmes, lui offrant un léger sourire.

« Attends-moi ici, lui soufflais-je. »

Je fis signe à Romane, l'une de mes dames de compagnie de la réconforter, et je quittai la pièce avec les autres, me dirigeant vers celle du trône de fer. Le siège le plus convoité des Sept Couronnes. J'y pris place, et d'un simple geste de la main, j'indiquai à mes soldats d'ouvrir les portes. Mon fils entra, et vint aussitôt poser un genou devant moi. Mon coeur se serra de bonheur dans ma poitrine à sa vue. Il me manquait terriblement, mais je savais que j'avais pris la bonne décision en l'expédiant ailleurs. Il apprendrait à régner.

« Votre Grâce, je suis à votre disposition, se répandit Jaegon en convenances. »

Je souris moqueusement, tandis qu'il relevait le regard vers moi. Je descendis aussitôt de mon trône, afin de me jeter dans ses bras. Je dus lutter fortement pour ne pas laisser des larmes de joie couler le long de mes joues. Je ne voulais plus jamais le laisser partir.

« Qu'on nous apporte du vin ! ordonnais-je en me décollant de mon fils. Et faites entrer la fille. »

Je vis l'air interrogateur de Jaegon. Sa visite était inattendue, mais elle tombait à point. Plutôt que de rencontrer seule la fille, nous allions la rencontrer ensemble. Même si ce n'était pas à lui de choisir son épouse, son avis m'importait tout de même.

« Mon fils, voici Lorelaï, de la maison Martell, proclamais-je alors que la jeune femme faisait irruption dans la salle. Ta promise. »

Les serviteurs arrivèrent alors avec des urnes de vin, et trois coupes. Bien rapidement elle furent remplies, et j'en bus la moitié d'un seul trait. Ce n'était pas un comportement digne d'une reine, mais ce vin était tellement divin, que je ne pouvais m'empêcher de le caler à chaque fois.

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Venant d'entrer dans le Donjon Rouge pour aller en direction de la salle du trône Jaegon pensait en même temps de ce qu'il parlerait à sa mère sa Reine. Toujours accompagner de ses hommes qui ont fait le déplacement avec lui heureusement qu'il avait bien sûr laissé un de ses conseillers dans son château à Peyredragon toujours aussi bien garder. Une fois dans la salle du trône, il avait plié le genou devant sa mère et dit qu'il est à sa disposition jusqu'à ce que sa mère se lève de son trône pour venir le prendre dans ses bras. Ayant sa mère dans ses bras, il est très content de la revoir après tant de mois sans se voir, mais seulement se parler par corbeaux ce n'est pas la même chose que se parler face à face. Jaegon sourit donc à sa mère lorsqu'elle propose que l'on fasse servir du vin. Il rit aux éclats à la vue de sa mère toute heureuse de le revoir comme s'il était comme son père qui revenait de bataille contre les envahisseurs de l'Est. Mais son sourire disparaît quand il entend sa mère demander aux serviteurs de faire entrer la fille, il regarde sa mère avec interrogation. - Euh excusez moi ? La fille ? Mais quelle fille mère ? Demande t-il à sa mère. Déjà, qu'il est à la base venu voir sa mère, mais en plus rencontrer sûrement une prétendante. Lorsqu'enfin la fille fait son entrée à son tour dans la salle du trône, il peut remarquer qu'elle ressemble aux filles de Dorne. Elle est plutôt magnifique, il la regarde venir jusqu'à eux, il écoute sa mère ensuite. C'est confirmer sa promise est la fille du Prince de Dorne. Toute façon, les Targaryen et les Dorniens s'unissent depuis des décennies. Il la salue donc avec respect digne d'une Princesse. - Votre Altesse, je suis honoré de faire votre connaissance. J'espère que votre voyage s'est bien passer et que l'on vous a bien accueilli. Bienvenue à Port-Réal. Je souhaite que notre union soit excellente et que vous soyez heureuse parmi nous. Dit-il en déposant un baiser sur la main de sa désormais future épouse.

Pando

Messages : 7 Date d'inscription : 10/06/2017

Père m'avait avertie que la Reine était une femme complexe, mais aussi qu'il me fallait respecter TOUTES les convenances en sa présence. Donc ne laisser paraître aucune parcelle de ma personnalité vive. Je me devrais d'être comme ma mère et ma soeur, soumise et fade. C'était pourquoi on m'avait obligé à réciter ce texte stupide et sans personnalité. Ma mère était plus qu'heureuse de me l'avoir écrit et vaincu. J'avais perdue Dorne, Lancehélion reviendrait donc à mon frère ou ma soeur aîné.

Je n'aimais pas être une marchandise, je voulais être moi, m'entraîner à la lance, jouir de ma liberté et ne pas à être soumise. En devenant une Targaryen, je devenais soumise et une potiche à la disposition d'un Roi. J'entendis les pas de la reine se diriger vers moi, ce que je devinai être sa main douce, releva mon visage aterré vers le sien, doux.

- Je sais ce que tu pense, dit-elle. Mais ces alliances sont nécessaires dans le bon fonctionnement d'un Royaume.

Avec un ton de voix aussi doux, je me calmai, alors que la Reine me demandait de laisser une chance à son fils de me prouver sa valeur. Je ne croyais pas que le beau Prince Targaryen manquait de valeur, mais moi oui. Alors que je reprenais un brin de contenance, la magnifique Reine essuya mes yeux ses pouces. Je me sentis presque aimée, ce qui n'était jamais arrivé de la part de ma mère.

-Attends-moi ici, me dit Sa Majestée.

Sur ces mots, elle fit signe à une belle dame de s'occuper de moi. La Souveraine des Sept Couronnes sortit. La servante me dit qu'elle s'appelait Romane et qu'elle servait la Reine Clémentine depuis son adolescence. Avec une voix douce, mais un ton ferme, qui me rappelait mon père, Romane m'aida à reprendre un bri. De confisnce en moi. J'étais capable de me teouver un bonheur dans la Capitale. Avec beaucoup de bonté, Romane replaça mes boucles et ma robe. Puis les grandes portes s'ouvrirent sur la salle du Trône de Fer. La tête un peu plus hate, je les traversai et gis la Reine avec un jeune homme tout à fait séduisant. Je compris qu'il était celui qu'on voulait me promettre. J'avançai vers les deux blonds, acceptant une coupe de vin.

- Mon fils, dit la Reine. Voici Lorelaï de la Maison Martell, ta promise.

Je m'inclinai devant le beau prince, alors qu'il me répondait par une petite révérence. Je sentis tout de même le poids de son regard d'homme sur moi, me gênant un brin, mais ne laissai rien paraître. Je laissai le prince Jaegon prendre ma petite main dans la sienne.

- Votre Altesse, je suis honoré de faire votre connaissance, dit-il, d'une voix suave. J'espère que votre voyage s'est bien passé et que l'on vous a bien acceuilli.Bienvenue à Port-Réals. J'espère que notre unionsoit excellente et que vous soyez heureuse parmi nous.

Je mordis ma lèvre inférieure, hésitant entre être que convenances et ennuyeuse; ou être moi. Je rougis lorsqu'il baisa tendrement ma main. Je lui fis une petite révérence, un sourire heureux et authentique aux lèvres. Pour une fois je me sentais pas tant soumise ou en perte d'identité.

- Votre bonheur est partagé, Prince Jaegon, sachez que je suis ravie de faire votre connaissance, ainsi que celle de votre mère, dis-je , honnêtement. J'ai beaucoup d'espoir et de foi en notre union et vous promets que je serai une épouse juste et bonne.

Je repris ma prise sur ma coupe de vin, pris une petite gorgée de ce délicieux breuvage, avant de la lever entre nous trois.

- Je propose un toast à notre union, à l'union de Port-Réals et de Dorne et à la nouvelle amitié avec vous, ma Reine, dis-je, heureuse.

Messages : 6 Date d'inscription : 25/06/2017

Le devoir d'une reine

J'étais terriblement anxieuse. Même si je savais très bien que toutes ces alliances étaient purement politiques, j'avais tout de même peur que mon fils n'aime pas sa femme. Après tout, ça arrivait dans presque tous les couples royaux. Mais je voulais que Jaegon soit heureux. Je voulais qu'il puisse connaître l'amour. J'espérais sincèrement que cette fille le serait.

Buvant distraitement ma coupe de vin, je laissais les deux promis faire convenances et connaissance. Cette jeune femme semblait intelligente et mieux encore, ses courbes laissaient présager qu'elle était très fertile. C'était une chose très réjouissante, pour le peuple, que d'avoir des futurs roi et reine capables d'engendrer des héritiers.

« Je propose un toast à notre union, clama alors Lorelaï, à l'union de Port-Réal et de Dorne et à la nouvelle amitié avec vous, ma Reine ! »

Je levai ma coupe afin de trinquer, et terminai son contenu. Je jetai un coup d'oeil vers la porte, en direction de ma meilleure amie, Theodora. Elle me faisait signe que le banquet était servi.

« Allons manger, dis-je alors avec un sourire. »

J'ouvris la marche en direction du hall, rapidement suivie par Jaegon et la jeune Martell. Je pris place au bout de la grande table en bois. Je fus heureuse de voir qu'Oscar et Félix étaient bien assis, en silence. Il n'était pas toujours facile de faire comprendre les bonnes manières à des enfants de 4 et 8 ans.

« Ma chère Lorelaï, laissez-moi vous présenter mes deux autres fils, le Prince Oscar, et le Prince Félix. »

Khailee fit alors apparition dans la salle, vêtue d'une robe somptueuse. Je ne pus m'empêcher de la foudroyer du regard devant son retard.

« Khailee, voici Lady Lorelaï, de la maison Martell, lui dis-je alors qu'elle prenait place. »

Je me saisis alors du couteau, avant de le tendre à mon fils.

« À toi de couper le porc, mon enfant, souriais-je. »

La dernière fois que j'avais mangé cette viande, c'était mon mari qui avait coupé les portions. C'était habituellement le roi qui avait cet honneur, ainsi il pouvait choisir le meilleur morceau ou alors l'offrir à sa reine. J'espérais fortement que mon fils avait compris mes intentions...

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Jaegon avait enfin rencontré donc sa promise sa future épouse celle qui partagera la majorité de sa vie et qui portera ses futurs héritiers. Il était très content parce qu'elle était très magnifique mais en plus plutôt gentille et juste. Lorsque sa mère fait ramener du bon vin pour trinquer à leur union prochaine Jaegon souri en regardant Lorelaï qui venait d'exprimer aussi son ressentis par rapport au mariage. - Je vous promet d'être un bon époux et vous rendre heureuse. J'espère que l'on aura le temps de se connaître, je voudrais connaître l'histoire de votre vie. Oui buvant à notre union qui renforcera les liens entre nos deux familles. Dit-il en buvant dans sa coupe de vin pour ensuite la termine en un trait, c'est pas ça, mais il n'avait rien bu depuis son arrivée à Port-Réal. Il suit sa mère pour aller dans le grand hall pour manger avec sa famille, il est d'ailleurs très heureux de revoir ses petits frères et sa grande sœur Khaeilee. Il est d'ailleurs parti les embrasser comme étant le premier fils de la famille, il se doit d'être exemplaire. Il tirait la chaise pour que sa fiancée ne s'assoie pas loin de lui pour ensuite s'asseoir à l'autre bout de table place que son père occupait. Lorsque sa mère lui proposait de couper le porc, cela signifie qu'il est vraiment à la tête de sa famille. Il prend une grande respiration pour ensuite prendre le couteau et le couper pour donner le plus beau morceau à Lorelaï puis lui souriait. - Tenez et mangez, j'espère que vous allez aimer. Dit-il en souriant pour ensuite continuer de couper et servir aussi les autres de sa famille et se servir en dernier comme étant la coutume un leader mange souvent en dernier pour s'assurer que les autres aient de quoi manger. Il lève sa coupe de vin ensuite en regardant sa famille et sa future épouse. - Je lève ma coupe en l'honneur de la paix qui règne dans les sept couronnes, notre dynastie reprend enfin forme et je jure que lorsque je serais le trône, je serais un Roi juste et bon avec ses sujets. Mais surtout une bienvenue à ma future épouse et future Reine, je compte que vous vous sentez à votre place ici parmi nous avec moi. Dit-il en buvant un peu et souriant.

Pando

Messages : 7 Date d'inscription : 10/06/2017

Je détestais ne pas être en contrôle de mes moyens, mais ce magnifique prince ne cessait de me les faire perdre. De plus, je ne voulais pas avoir l'air de ne pas savoir vivre, en disant quelque chose. Malgré les propos rassurants de mon promis et de sa mère, je me devais de garder une toute petite gêne. Je me devais de respirer lentement.

La Reine se retourna vers une autre Dame, qui lui fit un signe de tête. La magnifique Dame ouvrit les grandes portes.

- Allons manger, dit la Reine Clémentine.

La belle souveraine ouvrit la marche, se dirigeant vers un grand hall. Une longue table trônait au milieu de la pièce. La Reine des Sept Couronnes s'installa au bout de cette dernière, suivis par son fils et je fermai la marche. Je pris place près de mon promis, à sa droite, à l'autre bout de la table. Je lançai un regard heureux à mon fiancé, après qu'il ait tiré ma chambre.

- Ma chère Lorelaï, dit la reine. Laissez-moi vous présenter mes deux autres fils, le Prince Oscar et le Prince Felix.

Une autre jolie dame entra dans le Hall. Cette dernière était aussi blonde que les Princes et la Reine. Elle portait une robe magifique, beaucoup plus somptueuse que la mienne. Je me sentis pauvre, pour la première fois de ma vie. Sa Majestée Clémentine lui lança un regard noir.

- Khailee, voici Lady Lorelaï, de la Maison Martell, annonça la belle Reine.

Je fis un petit sourire timide à la belle princesse. Qui répondit d'un petit signe de tête, avant de prendre place près de sa mère. La reine tendit un long couteau à mon promis. Une lueur de fierté régnait dans son regard.

- À toi de couper le porc, mon enfant, dit-elle.

Je compris que cela revenait au Roi. Que c'était un symbolisme que son fils était maintenant un homme, un homme en âge de prendre le trône et de donner des petits-enfants pour allonger leur lignée. Je me sentis me remplir de fierté, car on venait de me dire que j'étais acceptée, sans me le dire. Mon fiancé prit la lame et commença à couper le porc en de fines tranches. Il prit l'un des plus beaux morceaux et le mis dans mon assiette devant moi.

- Tenez et mangez, dit Jaegon. J'espère que vous allez aimer.

Mon beau prince continua de couper la viande et la servir au reste de sa famille. Il termina avec lui-même. Au lieu de se mettre à manger tout de suite, comme mon père aurait fait, mon fiancé leva une coup de vin, son regard passant de sa famille à moi.

- Je lève ma coupe en l'honneur de la paix qui règne dans les sept couronnes, notre dynastie reprend enfin forme et je jure que lorsque je serai sur le trône, je serai un Roi juste et bon avec mes sujets. Mais surtout une bienvenue à ma future épouse et future Reine, je compte que vous vous sentez à votre place ici, parmi nous, avec moi, entama mon prince.

Mon fiancé prit une coupe de vin et souris à son public. Je me tournai vers la Reine, qui fit signe que nous pouvions manger. Je pris une gorgée de vin et coupai lentement le joli morceau de porc. Avec ma fourchette, je mis un petit cube de porc dans ma bouche, je le sentis fondre lentement dans ma bouche.

- C'est délicieux, dis-je.

Je rougis devant le regard de côté que me lança la princesse. Le petit prince Oscar grogna la bouche pleine de riz, il attaquait son porc avec son couteau, mais le morceau ne semblait pas couper. Je me penchai vers son assiette et coupai le morceau en petits cubes, avant de lui chatouiller le bedon. Le bambin se mit à rire à tout éclats.

- Vos fils sont adorables, ma Reine, dis-je, joyeusement.

Messages : 6 Date d'inscription : 25/06/2017

Le devoir d'une reine

Je fus très satisfaite de voir mon aîné offrir le meilleur morceau de viande à sa fiancée. Puis, il s'occupa du reste de la famille, avant de lui-même se servir. Décidément, il avait été très bien élevé. Il ferait un roi magnifique, je n'en doutais pas un instant. Tout ce qui lui manquait, c'était une femme et des héritiers. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder avec fierté, tandis qu'il levait sa coupe de vin. Aussitôt, je l'imitai.

« Je lève ma coupe en l'honneur de la paix qui règne dans les Sept Couronnes, clama alors Jaegon. Notre dynastie reprend enfin forme et je jure que lorsque je serai sur le trône, je serai un roi juste et bon avec mes sujets. Mais surtout, une bienvenue à ma future épouse et future reine, je compte que vous vous sentiez à votre place ici, parmi nous, avec moi. »

Je souris, avant de lever de nouveau ma coupe et d'en prendre une petite gorgée. Puis, je fis signe à la tablée qu'ils pouvaient commencer à manger. Bien rapidement, la future reine se déclara satisfaite de son repas. Malheureusement pour moi, Oscar commença à faire des siennes avec son repas. Je fronçai les sourcils, me préparant à sévir, mais Lorelaï s'empressa de couper sa viande, puis de lui chatouiller le ventre. Je pris une grande inspiration, en cherchant à peser mes mots. Elle n'avait pas à intervenir dans la vie de mes enfants. Encore moins à les aider à couper leur viande. Ils savaient le faire, et ce n'était pas en faisant tout à leur place qu'ils allaient apprendre à se débrouiller dans la vie.

« Vos fils sont adorables, ma reine, clama la jeune femme.

- Je sais, dis-je d'un ton sec. Je vous serais reconnaissante à l'avenir de ne pas intervenir dans leur vie sans m'en demander la permission. Voyez-vous, j'inculque des choses très précises à mes enfants, et en agissant comme vous venez de le faire, vous allez à l'encontre de ce que je leur enseigne. Ce comportement ne sera pas toléré chez moi. »

Je vis le sourire victorieux de Khailee, mais je lui fis signe de se mêler de ses affaires et de retourner à son assiette. Je savais bien que je venais de mettre un certain malaise à la table, mais cette femme devait apprendre à vivre selon mes règles, sinon elle ne survivrait pas dans le climat de Port-Réal.

« Plus de vin ! réclamais-je alors. »

Aussitôt demandé, un serveur accourut avec plusieurs urnes, qu'il déposa sur la table. Oscar leva la main pour en prendre, mais je tapai rapidement dessus.

« Mon fils, bois avec moi, lui dis-je, chaleureuse. »

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Sujet: Re: Discussion et rencontre importante Mar 4 Sep 2018 - 21:03

Discussion et rencontre

importante

Après avoir fait son petit discours en levant sa coupe de vin Jaegon en bu une petite gorger, pour ensuite se servir en dernier du porc. Il prend ensuite place près de sa future épouse et de sourire à ses petits frères, mais a quand même remarquer le comportement de sa grande sœur qu'il trouve exagérer de sa part par rapport à sa future épouse ce n'est pas comme ça que leur mère les a éduquer, il secoue la tête quand sa mère fait comprendre que tout le monde peut enfin manger. Jaegon commence donc à manger son repas lorsqu'il vit ensuite Lorelaï aider son plus jeune frère, il allait intervenir, mais trop tard elle a aider son jeune frère a couper son porc. Il sait déjà que ça n'allait pas plaire à sa mère, mais la connaissant elle allait très mal réagir du coup Jaegon se prépare à intervenir au cas où. Il continue de boire un peu de sa coupe de vin lorsque le moment venu que sa mère réagisse, il regarde sa mère et sa future épouse. Il regarde ensuite sa mère. - Avec tout le respect que je vous dois. Mère s'il vous plaît ne soyez pas trop dur avec elle ce n'est que son premier dîner avec notre famille du moins il manque Diana, mais c'est la première fois qu'elle dîne avec nous. Donnez-lui le bénéfice du doute s'il vous plaît. Je ne pense pas qu'elle pensait à mal en aidant Oscar. Je pense que le mieux serait de lui dire gentiment que cela ne se fait pas qu'Oscar doit se débrouiller seul. Dit-il à sa mère avec beaucoup de respect en la regardant. Puis elle demande plus de vin, il soupire et continue de manger son repas. Puis regarder Lorelaï et se pencher vers elle et chuchoter à son oreille. - Mère n'est pas méchante faites moi confiance elle veut juste que ses enfants apprennent à être autonomes. Dit-il avant de se remettre bien à sa place et de boire sa coupe de vin que l'un des serviteurs lui a remplit. Il regarde ensuite sa sœur toujours aussi hostile envers sa future belle-soeur.

Pando